Temps réel et basculement virtuel : le récit de l’effondrement comme catalyseur de l’action

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  • Jérémy Bernard

    Jérémy Bernard

    Coauteur et coréalisateur de la série L’Effondrement (Les Parasites – Canal+, 2019)

  • Guillaume Desjardins

    Guillaume Desjardins

    Coauteur et coréalisateur de la série L’Effondrement (Les Parasites – Canal+, 2019)

  • Julia Tasse

    Julia Tasse

    Directrice de recherche à l’IRIS, responsable du programme Océan

  • Marine de Guglielmo Weber

    Marine de Guglielmo Weber

    Ancien.ne chercheur.se à l'IRIS

  • Marc Verzeroli

    Marc Verzeroli

    Responsable d’édition à l’IRIS, Rédacteur en chef de La Revue internationale et stratégique

Marine de Guglielmo Weber, Julia Tasse et Marc Verzeroli – Comment s’est opéré le lien entre vos parcours audiovisuels et des sujets liés aux risques existentiels associés à l’inadéquation entre une économie internationale mondialisée, extractiviste, et le système Terre ? › GUILLAUME DESJARDINS – Nous avons d’abord eu la chance de réaliser beaucoup d’entretiens. Nous avions ainsi pu recevoir Pablo Servigne, Jacques Blamont, Philippe Bihouix et d’autres chercheurs, dont les visions de l’avenir étaient noires et qui nous montraient que l’on accélérait dans la mauvaise direction. Le thème de l’effondrement était donc déjà là, sans qu’il ne soit forcément mentionné comme tel. › JÉRÉMY BERNARD – À la différence d’aujourd’hui, personne n’utilisait le terme « effondrement » en 2017, qui a plutôt émergé avec Pablo Servigne en 2018. On pourrait d’ailleu

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