Impact de la mondialisation sur le sport : l’exemple du badminton

  • Olivier Bime

    Olivier Bime

    Chargé de mission « Prospective et Relations Internationales », Fédération Française de Badminton

IRIS : Pouvez-vous nous parler de votre poste et de vos missions ?

OLIVIER BIME : Je suis cadre technique du Ministère chargé des Sports placé auprès de la Fédération Française de Badminton (FFBaD) depuis 1990 avec une interruption de 2000 à 2009 en tant que Formateur au CREPS de Bordeaux. J’étais Directeur Technique National-adjoint à la Formation et l’Emploi, lors de l’élection de Richard Remaud à la présidence de la Fédération en 2013. Celui-ci a souhaité donner de nouvelles orientations à la fédération et c’est ainsi que le DTN, Philippe Limouzin, m’a nommé pour prendre en charge ces deux nouvelles missions fédérales.

On pourrait résumer mes missions en deux axes :

  • d’une part, une mission de prospective dont l’objectif est de se poser la question de ce que sera le badminton de demain, à 15-20 ans, de s’interroger sur les idées qui peuvent être développées, ainsi que les orientations qui pourront être prises par les élus.
  • d’autre part, les relations internationales. C’est à dire tout ce qui peut contribuer à faire briller le badminton français à l’international.

J’ai démarré ces deux missions à partir d’une feuille blanche. Elles pourraient se résumer autour du slogan : « Faire du badminton un sport majeur en France, et faire de la France une nation majeure du badminton. »…