Les événements s'accélèrent à Gaza. Israël vient de connaître son plus lourd bilan humain en une seule journée : 24 soldats tués. Sous la pression des familles des otages et de la société israélienne, Benjamin Netanyahou semble prêt à accepter une trêve humanitaire de deux mois en échange de la libération de tous les otages détenus par le Hamas, mais toujours pas de cessez-le-feu. Mais sans réelle pression, ni même de sanctions internationales, il garde les mains libres pour poursuivre sa guerre et se maintenir au pouvoir. Quelles seront les perspectives de sortie du conflit après la trêve ? Le maintien d'un état de confrontation, au risque d'alimenter violence et terrorisme, ou la mise en place d'un véritable moyen de coercition de la part de la communauté internationale pour assurer la coexistence des États palestinien et israélien ?