Politique extérieure et multilatéralisme des pays d’Amérique latine - Régionalisme et institutions supranationales en Amérique latine - Géopolitique et sécurité andine - Conflits maritimes - Politiques économiques
Guillaume Long
Guillaume Long est chercheur associé à l’IRIS et universitaire français, britannique et équatorien. Il a été ministre des Affaires étrangères, ministre de la Culture et du Patrimoine, ministre de la Connaissance et du Talent humain, président du Conseil d’Accréditation et d’Assurance qualité de l’Enseignement supérieur, président de l’école d’administration publique et conseiller du ministre de la Planification et du Développement, à différents moments au cours de la présidence de Rafael Correa en Équateur. Plus récemment, il a été représentant permanent de l’Équateur auprès des Nations unies à Genève.
Historien avec un doctorat en Politique internationale de l’Université de Londres, Guillaume Long enseigne actuellement les relations internationales et la politique comparée dans plusieurs universités en France et à l’étranger. Sa recherche concerne les processus de prise de décision dans la politique extérieure ; la politique, le régionalisme et la sécurité en Amérique latine ; et le multilatéralisme contemporain.
Analyses
Le cas Assange invite à une lecture particulièrement riche de l’évolution géopolitique des rapports entre les nations sud-américaines, les États-Unis et les pays européens. Selon Guillaume Long, ancien ministre du gouvernement Correa, chercheur associé à l’IRIS, le virage à droite du sous-continent redessine considérablement l’équilibre géopolitique continental. Quelles sont les...
Guillaume Long, chercheur associé à l’IRIS, ancien ministre des Affaires étrangères de l’Équateur, répond à nos questions : – Pourquoi le gouvernement de Rafael Correa avait-il accordé l’asile à Julian Assange ? – Jeudi 11 avril, Julian Assange a été arrêté par la police britannique à l’ambassade d’Équateur de Londres,...
Qui est aujourd’hui le président légitime du Venezuela? Nicolas Maduro est reconnu par l’ONU. C’est le président élu, même si sa réélection en 2018 a été fortement contestée. Non pas parce qu’il n’a pas obtenu assez de suffrages, mais parce que l’opposition n’y a pas participé. N’oublions pas que des...
Aires de recherche
