Chercheurs
 
Christophe Ventura
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Directeur de recherche à l'IRIS

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Christophe Ventura

Christophe Ventura est directeur de recherche à l’IRIS. Spécialiste de l’Amérique latine, il a réalisé un grand nombre de missions dans la région (Argentine, Brésil, Mexique, Amérique centrale, Venezuela, Uruguay).

 

Chargé de cours sur la Géopolitique de l’Amérique latine dans un monde multipolaire au sein d’IRIS Sup’, il est également enseignant à l’Institut Catholique de Paris, dans les masters de Géopolitique de la FASSE.

 

Journaliste, il suit depuis le début des années 2000 les évolutions politiques, économiques, sociales et géopolitiques dans cette région et publie régulièrement des articles dans divers journaux et revues (Le Monde diplomatique, Diplomatie, Mémoire des luttes, etc.).

 

Engagé dans le milieu associatif international, il a participé à la conception et à l’organisation des Forums sociaux mondiaux depuis leur fondation en 2001 (Porto Alegre, Brésil). Dans ce cadre, Christophe Ventura a accumulé une connaissance singulière de la société civile latino-américaine (mouvements sociaux, syndicats, ONG, partis, milieux universitaires, etc.) et des acteurs institutionnels des pays du sous-continent.

 

Diplômé de l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS), Christophe Ventura a étudié l’histoire du néolibéralisme aux Etats-Unis et les indépendances latino-américaines au 19e siècle.

 
Études
Amériques
Face à la crise de la mondialisation, quelle « relation spéciale » entre la France et l’Amérique latine ?
Note d'analyse
Analyses
 
 
11.01.2023
Le point de vue de Christophe Ventura
Ce dimanche 8 janvier, plusieurs milliers de partisans du président sortant brésilien Jair Bolsonaro ont envahi la place des Trois Pouvoirs à Brasilia et ont saccagé le Congrès, le Tribunal suprême fédéral (TSF) et le palais présidentiel. Ces manifestants s’opposent aux résultats des élections présidentielles qui ont vu Lula obtenir...
 
 
Le président Lula est-il menacé ? Il est sous la menace permanente de ces mouvements radicalisés. Car ceux-ci résonnent avec une partie de la société brésilienne, qui a voté Bolsonaro. Cela représente quasiment la moitié du Brésil, qui déteste la gauche, considère que la démocratie n’est pas un cadre naturel...
Aires de recherche
Amérique latine (vie politique, intégration régionale, politique extérieure…) - Société civile et mouvements sociaux
En vidéo