Chercheurs
 
Alice Baillat
Ancienne chercheuse associée à l'IRIS

Alice Baillat

Alice Baillat a été chercheuse associée à l’IRIS jusqu’en 2022. Elle et spécialiste des migrations environnementales et de la géopolitique du changement climatique.

 

Auteure de différents articles et chapitres d’ouvrage, elle a co-écrit avec Lucile Maertens un chapitre sur le traitement des enjeux migratoires et sécuritaires lors de la COP21 dans Globalising the Climate. COP21 and the Climatisation of Global Debates (Stefan C. Aykut, Jean Foyer et Edouard Morena (eds.), 2017, Routledge) ainsi qu’un chapitre sur la prise en compte des questions environnementales à l’Assemblée générale des Nations Unies dans L’Assemblée générale des Nations unies (Guillaume Devin, Franck Petiteville, Simon Tordjman (eds.), Presses de Sciences Po, à paraître en 2020).

 

Entre 2017 et 2019, Alice Baillat a travaillé comme chercheuse à l’IRIS au sein du pôle Climat, énergie et sécurité, plus particulièrement dans le cadre de l’Observatoire Défense et Climat, aux côtés de Bastien Alex et Francois Gemenne. Elle a également rejoint l’équipe du pôle Asie et travaillé en particulier sur la situation des Rohingyas au Bangladesh et en Birmanie. Elle contribue en outre aux activités pédagogiques de l’IRIS Sup’.

 

Titulaire d’un doctorat en relations internationales de Sciences Po Paris, Alice Baillat a consacré ses recherches doctorales à la diplomatie climatique du Bangladesh, un pays dans lequel elle a voyagé et séjourné à plusieurs reprises depuis 2011.

 
Études
Analyses
 
 
22.11.2017
Le point de vue de Alice Baillat
Alors que la situation des Rohingyas devient de plus en plus préoccupante sur le plan humanitaire et sanitaire dans leur exil forcé au Bangladesh, les Nations unies multiplient les dénonciations et les initiatives, mais le jeu des puissances fait qu’aucune décision réellement contraignante n’a été prise à l’égard du régime...
 
 
17.07.2017
Le point de vue de Alice Baillat
Pays particulièrement vulnérable aux impacts du changement climatique, le Bangladesh a développé au fil des années un arsenal politique et institutionnel, ainsi qu’une expertise locale en matière d’adaptation qui lui ont permis d’acquérir un certain « weak power » pour défendre ses intérêts dans les négociations climatiques. Explications d’Alice Baillat, chercheuse à...
Aires de recherche
Conséquences migratoires et sécuritaires des changements climatiques - Négociations internationales sur le climat - Bangladesh - Asie du Sud
Publications