VIDÉOS

Interventions et nouvelles guerres : la puissance a-t-elle des limites ?



Bertrand Badie est professeur de science politique à Sciences Po Paris. Il répond à nos questions à propos de son ouvrage « Un monde de souffrances. Ambivalence de la mondialisation » (Salvator, 2015) :
- Vous dites dans votre livre que les « guerres des pauvres » sortent du monde de Clausewitz. Qu’entendez-vous par là ? Sur quels exemples vous appuyez-vous ?
- Les interventions occidentales en Irak, en Afghanistan ou en Centrafrique ont-elles court-circuité le principe du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes ?
- La puissance est-elle damnée à punir plutôt qu’à résoudre ?