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Anne Sénéquier
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Chercheuse à l'IRIS

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Anne Sénéquier

Le Dr Anne Sénéquier est chercheuse et co-directrice de l’Observatoire de la santé mondiale de l’IRIS, spécialisée sur les questions santé et environnement.

 

Elle est titulaire d’un doctorat en psychiatrie, suivi d’une spécialisation en pédopsychiatrie. Son cursus est doublé d’un master de « santé publique – épidémiologie » et d’un master « Action humanitaire : enjeux stratégiques et gestion de projet » au sein de l’IRIS Sup’ où elle enseigne désormais. Elle est également chargée de cours à l’Université catholique de Lille sur le master « environnement et transition » 

 

Le Dr Anne Sénéquier a notamment travaillé avec Médecins sans Frontières (MSF), Action contre la faim (ACF) et Médecins du Monde (MdM). Elle intervient régulièrement dans les médias sur des thématiques médicales et sociétales, mais également sur l’environnement et le climat. 

 

Elle est l’autrice de Géopolitique de la santé, en collaboration avec Victor Pelpel, (Éditions Eyrolles/IRIS Paris, 2023) et co-auteur, avec Pascal Boniface, de La géopolitique tout simplement, (Éditions Eyrolles, 2023).

 

 

 
Analyses
 
 
13.03.2024
Nous vivons ces dernières années et décennies des bouleversements qui semblent indiquer que la société française est prête à aborder ce sujet. Ne pas réfléchir sur la question est un luxe que nous ne pouvons plus nous offrir. La concomitance du vieillissement démographique de la France (10,5% de la population...
 
 
26.02.2024
Le point de vue de Anne Sénéquier
  At the start of 2024, Cameroon launched a systematic vaccination campaign against malaria. This is an international first, given that by 2022 malaria had killed 608,000 people worldwide, including 508,000 on the African continent. What does Cameroon’s decision mean? Is it possible to eradicate malaria? If so, what resources...
 
 
Le point de vue de Anne Sénéquier
Le Cameroun a lancé en ce début d’année 2024 une campagne de vaccination systématique contre le paludisme. Une première à l’échelle internationale, alors qu’en 2022 le paludisme avait provoqué la mort de 608 000 personnes à l’échelle mondiale, dont 508 000 sur le continent africain. Que traduit cette décision camerounaise ? Est-il...